Les travailleurs des Ciments du Sahel ont fait part de leurs difficultés quotidiennes au ministre du Travail, de l'emploi et des relations avec les institutions, Yankhoba Diémé. Moussa Souleymane Thiam, leur porte-parole, a dénoncé « les lenteurs dans l’avancement des employés, dont certains stagnent dans leur catégorie depuis cinq à sept ans ».
Les travailleurs ont également signalé un manque d’équipements de protection, notamment de masques contre la poussière, une situation récemment corrigée par la direction. À en croire M. Thiam, « des augmentations de salaire ont été accordées le mois dernier à la suite d'une rencontre avec la direction, mais les employés espèrent encore davantage d’améliorations. »
Prenant la parole, Yankhoba Diémé, le ministre du Travail, a souligné que « Ciments du Sahel est une entreprise systémique » dans le secteur du ciment, et a rappelé « l'importance de la sécurité, de la santé au travail et du paiement des heures supplémentaires. » Selon lui, ces aspects doivent être « scrupuleusement » observés pour éviter toute insatisfaction parmi les travailleurs.
Le ministre a noté des marges d'amélioration au sein de l’entreprise mais s'est dit optimiste face à la reprise du dialogue entre la direction et les travailleurs. En attendant les élections de délégués, le groupe de travailleurs candidats est temporairement reconnu par la direction comme interlocuteurs.
Le ministère du Travail a qualifié Ciments du Sahel de « champion de l’investissement », avec une nouvelle ligne de production estimée à plus de 200 milliards de FCFA, consolidant sa position parmi les plus grandes entreprises d’Afrique de l’Ouest. Il a toutefois signalé des critiques sur les réseaux sociaux ternissant l'image de l’entreprise, rapporte l'Aps.
Les travailleurs ont également signalé un manque d’équipements de protection, notamment de masques contre la poussière, une situation récemment corrigée par la direction. À en croire M. Thiam, « des augmentations de salaire ont été accordées le mois dernier à la suite d'une rencontre avec la direction, mais les employés espèrent encore davantage d’améliorations. »
Prenant la parole, Yankhoba Diémé, le ministre du Travail, a souligné que « Ciments du Sahel est une entreprise systémique » dans le secteur du ciment, et a rappelé « l'importance de la sécurité, de la santé au travail et du paiement des heures supplémentaires. » Selon lui, ces aspects doivent être « scrupuleusement » observés pour éviter toute insatisfaction parmi les travailleurs.
Le ministre a noté des marges d'amélioration au sein de l’entreprise mais s'est dit optimiste face à la reprise du dialogue entre la direction et les travailleurs. En attendant les élections de délégués, le groupe de travailleurs candidats est temporairement reconnu par la direction comme interlocuteurs.
Le ministère du Travail a qualifié Ciments du Sahel de « champion de l’investissement », avec une nouvelle ligne de production estimée à plus de 200 milliards de FCFA, consolidant sa position parmi les plus grandes entreprises d’Afrique de l’Ouest. Il a toutefois signalé des critiques sur les réseaux sociaux ternissant l'image de l’entreprise, rapporte l'Aps.
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